Infos pratiques sur Antsirabe

3 / 5 - 3 avis

Comment y aller ?

A 170 km en Voiture / bus de Antananarivo

Quand partir ?

Entre avril et octobre (saison sèche). Risques de cyclones entre fin décembre et mi-avril.

Avis des voyageurs sur Antsirabe

Grand Voyageur

60 avis rédigés

Antsirabe tient son nom de « Any sira be » signifiant « là où le sel abonde ». Elle culmine à 1500 m d’altitude et ses collines sont entourées de sources thermales riches en sels minéraux, idéales pour un moment de détente durant votre voyage.

Mon conseil :

Le voyageur le remarque tout de suite en arrivant, Antsirabe est la capitale des pousse-pousse ! Elle en détient le plus grand nombre par habitant. Profitez donc d'une petite balade à travers la ville !

Mon avis

Troisième plus grande ville de Madagascar, Antsirabe compte environ 200 000 habitants. Ses constructions en colonnades sont remarquables. Vous pouvez aussi y visiter la fonderie d’Ambalatolampy pour y dénicher un trésor fait de cuivre ou d’aluminium, ou rencontrer les artisans tailleurs de cornes de zébu.

Pour se protéger de la poussière, ils sont friands des masques pour les yeux distribués dans les avions. Ne jetez pas les vôtres, vous ferez des heureux !

Paolo Crosetto

Carlos Ferrer Voyageur

37 avis rédigés

Mon avis

Antsirabe était pour mon voyage une ville d'étape entre Tana et la suite. D'aspect colonial, ça veut le coup de faire un tour par centre ville. L'avenue principale et la gare centrale sont jolis à voire et assez unique à Madagascar. Ville connue pour l'artisanat local.

Philip Böhm Voyageur

50 avis rédigés

Mon avis

Ancienne ville de villégiature des français, encore marqué par une architecture et un style fortement colonial dans son centre, elle est considérée comme le pendant à la ville de Vichy. Son eau minérale s’appelle d’ailleurs « Visy » et on y trouve également une des meilleurs bières du pays : la Three horse beer, plus connue sous son acronyme THB. Antsirabe est célèbre également pour ses innombrables pousses pousses. Ces charrettes rudimentaires tirés à bras d’homme et au pas de course, mais qui laissent cependant peu à peu la place au vélos taxis.