Il suffit de s’éloigner de la capitale pour découvrir, après 1 à 2 h de route, des étendues désertiques fascinantes, le Petit Bara, désert sablonneux, puis le Grand Bara, au sol terreux blanc et craquelé par la chaleur et l’aridité.
Il suffit de s’éloigner de la capitale pour découvrir, après 1 à 2 h de route, des étendues désertiques fascinantes, le Petit Bara, désert sablonneux, puis le Grand Bara, au sol terreux blanc et craquelé par la chaleur et l’aridité.
Mon conseil
Il faut prévoir un bon 4x4, convenablement équipé (notamment de deux roues de secours, de réserves d’eau et de nourriture suffisantes, de vêtements et de protections contre le sable et le soleil) !
Djibouti : nos articles pour préparer vos vacances
Deux cratères noirs aux sommets arrondis semblent avoir été jetés comme de simples cailloux par des Géants dans le Goubbet al-Kharab, au fond du golfe de Tadjourah… À moins qu’ils ne soient les portes d’entrée des enfers, où sommeillent des démons, comme l’indique son nom…. Toutes les légendes sont permises pour expliquer l’origine de ces deux volcans.
Dans un pays aussi aride que Djibouti, le moindre espace vert, le moindre carré de pelouse revêt une dimension particulière, à la façon d’une oasis dans le désert. C’est pourquoi le quartier d’Ambouli, où se nichent plusieurs jardins, attire les visiteurs en quête de fraîcheur.
Beaucoup plus accessibles que l’archipel des Sept Frères, les deux îles voisines Moucha et Maskali, au large de la capitale, sont également des lieux de plongée à découvrir. On peut y observer des récifs de corail très bien préservés, des poissons variés et des épaves parfois anciennes !
L’existence d’une forêt à Djibouti semble tout simplement douteuse, tant le pays est aride et la végétation rare et réduite à sa plus simple expression. C’est pourquoi la forêt du Day, située sur les versants des monts Goda, est un espace fragile à préserver, devenu parc naturel national dès 1939.