L'industrie étant quasi absente du pays, la plupart des souvenirs sont confectionnés à partir de produits naturels ou recyclés. Plusieurs coopératives ou associations de solidarité permettent d'effectuer des achats éthiques. A vous de les dénicher au cours de votre voyage au Malawi !
Le mobilier exotique
L'objet le plus élégant et original que l'on peut ramener d'un séjour au Malawi est sans aucun doute la chaise en canne de rotin (en anglais "malawi cane"). Il en a fallu de l'imagination pour construire de magnifiques chaises à partir de cette herbe longue et vivace qui pousse dans les marais, partout au Malawi. Etant donné qu'elles ne sont pas fabriquées en série, vous trouverez des motifs uniques et pourrez même en faire fabriquer sur mesure. Elles trouveront leur place dans un salon ou une terrasse et s'achèteront beaucoup moins chères au Malawi qu'ailleurs.
Encore plus surprenants, vous trouverez de petits meubles en bois exotiques : ébène, acajou, santal. Rendez vous dans un atelier pour admirer la dextérité avec laquelle ils sont confectionnés. Avec très peu d'outils et en utilisant les mains et les pieds, les artisans donnent vie à de magnifiques tables basses et tabourets.
Les marchés artisanaux, tout en couleurs
Comme tout marché africain qui se respecte, ceux du Malawi sont hauts en couleurs. On y trouve beaucoup de tissus, dont la plupart viennent des pays voisins mais sont moins onéreux ici. Le marché touristique de Nkhata bay est un bel exemple d'artisanat varié et original. On découvre aussi d'étonnantes sculptures réalisées avec des matériaux naturels dont on ne soupçonne même pas l'existence !
Des souvenirs originaux
Quoi de plus original que de ramener des ballons de football (ou autre) fabriqués en caoutchouc de latex par les ouvriers ? Pour les trouver, il suffit de se promener du côté des forêts d'hévéas.
Si vous disposez d'un budget suffisant pour ramener de gros objets, je vous conseille l'acquisition d'un dugout. Cette barque creusée dans un tronc d'arbre est le véritable emblème du Malawi.
